2015 28 Août

La Parole de Dieu à la Fête de l’Assomption de la Mère de Dieu

Il est grand Mon amour en ce jour de sainte fête. Je Me tiens avec les armées de saints et d’anges dans les airs ici, et Mon amour vous embrasse vous tous, fils vous qui peinez pour Ma gloire, celle que vous Me donnez toujours dans les fêtes, ici chez vous.

C’est parole de consolation que Je vous donne. Je vous console avec Ma parole, et Je Me laisse avec elle sur ceux réunis sous la voûte blanche ici, afin que leur amour monte vers Moi, et que Nous Nous rencontrions dans l’air et le remplir de l’esprit de l’amour, Mes chers fils. J’adoucis l’amour de vos cœurs avec Ma douce parole d’amour. Oh, si Moi, le Seigneur, Je n’étais pas amour, existerait-il encore le monde? Existeraient-ils encore le ciel et la terre, que J’ai bâtis avec de l’amour dans la parole, et il y aurait encore quelque chose entre elles, si Dieu n’était pas amour?

Oh, que de lumière Mon amour fait-il entre le ciel et la terre ! L’amour c’est Mon œuvre. C’est avec lui que J’ai travaillé l’homme, en prenant de la terre et de l’esprit de vie de Ma vie, après avoir bâti par la parole de Mon amour, le ciel et la terre, les arbres et l’herbe, le soleil et la lune, les animaux et les oiseaux selon leur espèce et ensuite l’homme. Oh, elle a été tout amour l’œuvre de la création, et tout un amour l’est aujourd’hui aussi Ma grande œuvre et patience, Mon long soupir et parole soupirante après l’amour de l’homme, qui est loin, loin de Dieu et de Son amour.

Oh, c’est seulement avec de l’amour que Je travaille entre le ciel et la terre, entre Moi et l’homme. Je suis venu après l’homme sur la terre avec l’amour de Ma parole et Je vais au devant de lui avec la voix de Mon amour, Je lui parle comblé d’amour, et J’attends que l’homme connaisse l’esprit et la voix et mon attente après lui, pour l’envelopper de Mon amour.

Oh, vous avez introduit le ciel sous la tente blanche chez vous, les fils, et il y est entré, il s’y est montré dans manière où vous avez orné à la vue, gloire de ciel et de nuages porteurs, en haut, dans l’air d’au-dessous de la tente blanche. Tout est comme une vision venue de vous vers Nous, ceux du ciel, les fils.

Oh, merveilleux enfants, oh, combien Je vous aime! Je ne devrais pas vous dire cela, mais les mots M’échappent, fils sans repos en préparant de la gloire céleste, car vous travaillez comme des enfants folâtres, pour montrer la présence du ciel, pour lui construire belle image sous la coupole sous laquelle Nous, ceux du ciel, avec ceux de la terre venus ici dans les fêtes, Nous Nous consolons avec vous de la gloire que vous Nous préparez chaque fois, puisque Mon esprit meut votre cœur et raison et amour, et ils viennent les chrétiens de tout le pays pour voire Ma gloire avec vous, et leur cœur se remplit de frémissement saint ici avec vous, les fils. Oh, vous ne savez pas comment faire pour plus Nous réjouir, Nous consoler, Nous ceux du ciel, et aussi ceux qui croient à Ma venue en parole chez vous, et Me consoler Moi, Celui si dépourvu d’amour venu de l’homme, les fils.

C’est avec douceur que Je vous parle à vous aussi, qui apprécie la valeur de Mon lieu choisi ici, et les fils de Ma parole. Oh, qu’il soit doux votre amour pour Moi, et la foi pour lui, puisque sans amour, la foi ne peut donner ses fruits, oh, non, les fils. Je vous console de la peine du voyage, celui pour venir et Me tenir compagnie un instant à Moi et à ceux du ciel ici, sous la tente blanche, la Tente de la Rencontre, et Nous sommes si merveilleusement accueillis, les fils. Nous, Nous venons du ciel, vous de la terre, en voyageant jusqu’ici, pour Nous rencontrer et Nous adoucir comme dans les cieux, car la table d’ici est céleste, c’est du céleste tout ce qu’elle porte, et Nous prenons ici de sa joie.

Oh, les fils, les gens de la terre ont leurs joies. Ils ne peuvent vivre sans le péché, oh, ils ne peuvent sans cette menteuse consolation et sa joie, puisque l’enfer est sur la terre, les fils, il est là où on péché contre l’amour de Dieu dans les hommes, et il n’y pas d’autre enfer, mais ceux que les hommes disent être l’enfer, celui qui suit après la vie dans la chair, là-bas il n’y a que le payement pour les choses travaillées par l’homme de façon diabolique sur la terre. Mais vous, vous ne pouvez pas vivre sans le Seigneur, sans Moi, les fils, vous courrez après Moi, cherchant la joie avec Moi, chez Celui si endolori à cause de l’homme pécheur, et voilà, le paradis est sur la terre, là où il y a de l’amour et de la lutte contre l’amour du péché dans les hommes, et il n’y pas d’autre paradis, et ceux que les gens disent que c’est le paradis qui vient après la vie dans la chair, là bas il n’y a que le bonheur pour lequel luttent les fils de l’amour, le payement pour les choses travaillées par l’homme de façon céleste sur la terre.

Oh dans le monde tout est souillé, il y a de la souillure du péché partout, il y a l’enfer partout, et dans toutes les maisons où Je n’ai pas de place avec l’homme, du moment qu’il a tellement grandi l’homme, qui ne désire pas le Seigneur, les fils. Oh, il est laid partout pour Moi dans le monde, mais chez vous c’est beau, si beau pour Dieu, les fils, et il sera toujours plus beau chez vous, car c’est à cette beauté que vous travaillez et vous vous fatiguez en travaillant, toujours, toujours en travaillant et enjolivant, et Moi, le Seigneur, Je vous loue devant ceux du ciel et Je Me réjouis de vous. Même quand vous êtes tristes et trop tristes et éprouvés par des douleurs et des difficultés de toutes sortes qui viennent, même alors chez vous tout est beau, car la douleur- même est aussi très belle pour ceux qui connaissent son prix, et tout le ciel aime se tenir auprès de vous et vous consoler, vous protéger, et fortifier le pouvoir de la cité, de Ma cité avec vous, les fils. Je vous ai vous comme un nid avec des petits dedans, et Je vous nourris de Ma bouche, comme l’oiseau qui nourrit ses petits et prend soin d’eux, veillant attentivement de peur qu’un des petits ne tombe pas du nid, de peur que cela ne Me fasse pas mal ensuite, les fils.

Oh, prends soin, fils chrétiens appartenant à cette œuvre de parole du ciel, prends soin de ne pas te perdre, de ne pas tomber du nid, prends soin de ne pas t’égarer des frères, et que tu ne te sépares pas des petits de Dieu, car au moment où tu perds l’église, tu te trouves tombé du troupeau par la méchanceté du diable, et tu tombes entre les loups comme un agneau faible et sans protection, et tu n’as plus quoi téter, tu n’as plus ni mère ni père, tu n’as plus de frères, tu n’en as plus. Tu n’as plus de maison, ni d’enclos protecteur, tu n’as plus des jours de fête, car fête signifie les frères, cela signifie l’église avec tous ses membres en œuvre sainte et pleine de gloire pour son Seigneur, pour son Epoux, et toi, tu ne doit pas te faire de goûts, et de désirs à part, pour perdre ainsi la gloire de la communion sainte avec les frères, car il n’y a pas sur la terre de richesse, aucune richesse comme cette douce fortune, les frères, le plus cher gain que l’homme peut obtenir sur la terre.

Je vous apprends le travail de l’estime envers les frères, les fils, et c’est toujours cela que J’apprends à ce qui vous frappent en diffamant devant les hommes Ma voie avec vous. Oh, toi, celui qui ris et diffames Ma maison, Mon église de Nouvelle Jérusalem et ses fils, ceux qui sont Mes frères, Mes petits, tu veux qu’on te croie étranger, mais tu as été si longtemps accueilli et régalé comme un prince dans Ma maison, dans Ma cité. Oh, Mon œuvre, Ma voie est si difficile à porter sur les épaules de ceux sur lesquels Je Me laisse avec elle, et toi, tu jettes irresponsable avec de la boue dans Ma marche avec eux. Oh, cherche à apprendre l’œuvre de l’estime envers Mes frères, car l’amour rend fils de Dieu ceux qui savent apprécier tout ce que vient du ciel sur la terre pour les fils de l’obéissance. Oh, attention, attention à ce que Je te dis.

Oh, Ma chère mère, que d’amour as-tu mis dans les cœurs des hommes au temps de ta chair sur la terre, et c’est la même chose que tu travailles aujourd’hui, et tu laisses ta miséricorde au-dessus de la terre et de l’homme, car l’homme ne Nous aime pas, Ma mère, même s’il nous appelle toujours pour le libérer du fardeau de ses fautes, dans lesquelles il vit sans cesse, se réjouissant d’elles contre la nature, contre la loi de Dieu, Ma mère. Oh, quel beau travail avons-Nous fait Moi et toi, pour que Nous puissions Nous donner comme exemple de vie et d’amour, mais les hommes ne réussissent pas, Ma mère. Oh comment avons-Nous, Moi et toi, montré aux hommes d’être, et comment le sont-ils, Ma mère! Oh, comment ne pas avoir du mal, du moment qu’ils ne cherchent que le péché, le plaisir du péché, en contaminant le souffle de la terre, Ma mère?

Nous Nous sommes préparés à temps avec l’amour, et c’est avec lui que Nous accueillons ceux qui se réunissent à la source en ton jour de fête sainte, Ma mère, pour recevoir de la consolation de Notre part, mais c’est de la sagesse que J’aimerais qu’ils prennent, sagesse dont ils puissent prendre leur consolation, gardant ainsi l’œuvre de leur travail, Ma mère.

Oh, fils des hommes, écoutez Ma parole, car Moi, le Seigneur, Je vous enseigne vous aussi, en jour de sainte fête. Ne vous provoquez pas les uns les autres pour le péché, pour l’envie de pécher, car pas pour le péché a crée Dieu l’homme avec Sa main, avec Son amour. Oh, habillez vos corps en sainteté, et en chemises de lin, pour que l’esprit du péché ne sorte plus de vous. Tous les saints sont habillés de vêtements de lin, comme il est écrit, ils ne sont pas nus comme les hommes de la terre, qui se montrent nus devant le soleil, devant le Seigneur et Ses saints. Aimez ceux du ciel, ceux qui sont tellement vivants, pour vous délivrer ainsi de l’amour pour le péché, puisque le péché c’est la mort, tel qu’il est écrit, ce n’est pas autre chose le péché, et il s’en réjouit l’homme et c’est pour cela qu’il meurt ensuite, car il est écrit que le payement du péché c’est la mort.

Je vous enseigne à tous la sagesse. Oh, aimez-la, les fils. Vous qui venez ici à la source, soyez sages, soyez toujours sages. Ne cherchez pas d’avoir de rencontres les uns avec les autres, si vous venez et connaissez cette source de parole du ciel. Que celles d’ici soient vos rencontres, celles avec le Seigneur, de peur qu’en travaillant sans veille, sans obéissance, vous pourriez être pris dans la coulpe par satan, celui qui barre le chemin de ceux qui veulent être nés du ciel par cette parole sainte, et qu’il veut faire chanceler, pour tacher ensuite Mon visage, Mon œuvre de parole, qui vous nourrit d’ici pour être saints, pour être sages.

Oh, Nous avons ouvert les portes, Ma mère, afin qu’ils entrent dans Notre jardin ceux partis vers la source, et Nous leur donnons des paroles célestes, des conseils de vie en sainteté, car sans la sainteté l’homme ne peut être avec Nous, et rester avec Nous jusqu’à la fin, et dans l’éternité ensuite, et que l’homme existe pour les siècles des siècles, pas seulement transitoire, Ma mère. Voilà, pas à pas, Nous parlons et Nous laissons de la parole pour tout le travail du jour de fête pour toi, Ma mère, et Nous mettons sur la table beaucoup de conseils et l’explication des mystères, puisque l’homme a besoin d’apprendre s’il veut être enseigné du ciel, s’il aime Ma parole, qui ressuscite les morts, car les morts m’entendent et reviennent à la vie, et on a besoin de grande foi pour ce mystère, parce que si à la parole du prêtre qui sert à l’autel, Moi, le Seigneur, Je Me fais du pain et du vin, et Je Me donne à l’homme fidèle comme nourriture pour la vie céleste, oh, c’est toujours ainsi qu’il arrive à l’homme à Ma parole, en devenant homme vivant pris de la terre d’où il se lève. Voilà, Moi, Qui suis Dieu, J’obéis à l’homme, à celui qui fait le Seigneur par la parole du pain et du vin, mais toi homme, pourquoi ne te fais-tu pas Dieu à Ma parole sur toi, pour que tu sois vivant pour les siècles de siècles?

Oh, Ma mère, va enseigner toi-même en ton jour de fête sainte et mets sur la table ton enseignement. Moi, Ton Fils, Jésus–Christ, Je te bénis car Je suis ton Dieu, Ma mère, et Nous savons ce que signifie Dieu, oh, Ma mère. Oh, verse maintenant tout ton amour sur ceux avec lesquels Nous sommes à table aujourd’hui et Nous Nous consolons, et Nous consolons, Ma mère. Amen.

— Oh, c’est Toi Mon amour entier, oh, Fils bien-aimé du Père et de Moi. Tu es le débordement, Toi et Ta parole.

Oh, allons enseigner ceux avec qui Nous Nous consolons maintenant. Allons leur parler de l’obéissance, cher Fils. Elle est le comble de l’amour, elle fait naître des dieux pour Dieu. Oh, disons leur qu’elle a été grande Notre soumission. Nous Nous sommes soumis moi comme Toi, à la parole prononcée sur Nous, car l’ange est venu chez moi, il a parlé et il s’est fait connu venant de la part du Père. Je me suis soumise à sa parole pour moi, et sa parole prononcé pour moi, elle s’est faite Dieu, Toi, le fruit de la parole, et c’est l’amour l’œuvre qui m’a appris de me soumettre. Oh, que d’obéissance as-Tu eu, Fils bien-aimé, et combien Tu en as toujours, alors que Tu Te fais nourriture pour les fils de Dieu, par la parole du prêtre, qui demande qu’ils se fassent Dieu le pain et le vin, avec lesquels il nourrit ensuite les fils de l’église. Tu T’es soumis dans le jardin de Gethsémani, quand ils sont venus les envoyés du Caïphe pour T’emporter vers la croix et la mort, et cela a été de l’amour Ta soumission, de laquelle est née Ta résurrection, Mon Fils bien-aimé.

Oh, sans amour il n’y pas de soumission, il n’y en a pas, les fils. C’est ma fête avec vous, et avec ceux du ciel chez vous. Paix à vous! Oh, que de consolation de Nous pour vous, et de vous pour Nous! Y a-t-il encore sur la terre un autre lieu tellement beau que chez vous ici? Oh, quelle beauté, quelle beauté! Vous avez étendu le bleu du ciel sous la tente de la rencontre, et vous y avez placé de petits nuages. On dirait que toutes les choses ont de la vie, toutes ont de la consolation et qu’elles parlent toutes. Oh, paix à vous! Ma grâce éclot comme une fleur quand elle fleurit, et elle vous partage de son parfum. Nous Nous tenons dans l’air ici, et c’est seulement de la consolation que Nous vous offrons. Oh, les fils, apprenez l’œuvre de la soumission. Elle est le comble de l’amour, elle est du ciel.

Oh, je vais vous dire quelque chose. Le Seigneur peut Se tenir face à face avec un instant qui est passé où qui doit venir, qui vient en venant. Il peut l’amener devant Lui et s’y placé avec Son œuvre, avec Son regard, avec Sa parole, mais l’homme ne peut pas cela, puisque c’est au Seigneur de les faire, car c’est Dieu Qui a fait tous les siècles avant qu’ils existent.

Oh, les fils, levez vous et prononcez des paroles qui attendent de s’accomplir, afin qu’il vienne leur accomplissement, car vous travaillez avec le Seigneur. Apprenez l’œuvre de la soumission et habituez vous-en, parce qu’ils attendent à la frontière de très grands accomplissements, les fils, et vous êtes ceux qui travaillez avec le Seigneur.

Je bénis moi aussi, la gloire de la fête pour moi. Je bénis et j’affermis la paix et la consolation.

Oh, Fils bien-aimé, donne leur Ta venue, car ils Te la donnent et la mettent devant Toi. Ce n’est pas seulement avec le souvenir qu’ils Te l’amènent, mais en fait, Seigneur, et c’est un grand mystère cela entre Toi et eux, car Tu viens toujours chez eux avec Ta venue, et il y en a d’autres qui T’attendent de venir, Fils mystérieux. Oh, combien peu Te comprennent les hommes, Seigneur, car Tu es Celui mystérieux.

Je bénis moi aussi la venue à la source de ceux qui ont voyagé, leur participation et la voie de retour ensuite, et qu’ils aient bonne mémoire pour retenir celles du ciel, et Je leur souhaite de croître selon Ta volonté et qu’ils soient éternellement les Tiens, mon Fils bien-aimé. Amin.

— Oh, Ma douce mère, quelle douce parole tu as mis sur la table de festin en ta jour de fête, parole pleine de mystère, Ma mère! Plein de mystère il se range dans le ciel ce jour, pour son éternité, Ma mère.

Et ensuite, après avoir levé la table de fête, J’ordonne aux anges de porter avec de sainte veille les pas de retour vers leurs maisons, pour ceux venus à la rencontre, et toujours, Je les attends de faire partie de Ma gloire ici dans Mes jours de gloire sur la terre maintenant, à la fin du temps.

C’est avec de l’amour en parole que J’ai commencée la parole de ce jour, et c’est toujours avec de l’amour que Je la finis pour vous et pour Mes saints, avec lesquels Je Me porte, oh, les fils. Oh, paix à vous! Oh, que J’aime, que J’aime d’être chez vous, que J’aime d’être avec vous, les fils. Paix à vous, paix à vous, paix à vous!