La Parole de Dieu à la fête de Sainte Parascheva
La Parole de Dieu pour les églises chrétien-orthodoxes de Roumanie, de la République de Moldavie et de Russie
C’est la fête pour les chrétiens sur la terre, lorsque le ciel est en fête et grandiose est la réjouissance dans le ciel entre les saints, et sur la terre coulent des larmes d’amour des yeux de ceux qui aiment le ciel et ses saints, car les saints sont la consolation des hommes sur la terre aux temps de joie ou de malheur, et le vrai livre d’histoire les saints peuvent le laisser pour être écrit sur la terre, et ce sont eux qui poussent tout en avant, tandis que tous ceux qui se cramponnent des sièges du pouvoir entrainent tout en bas, tout en arrière, seulement pour eux, se vantant entre eux et devant les foules qu’ils sont des personnes importantes, arrivées au sommet de la société, mais voilà qu’ils y montent uniquement pour s’enrichir et passer leur vie avec arrogance, car aux sièges au pouvoir d’une cité ne sont pas poussés des hommes au cœur, à la vie et au x mains propres, mais seulement les avides de richesses et de rangs et de gloire, ceux qui achètent les sièges du pouvoir, tandis que des maîtres bons, charitables et doux pour les gens au peuple arrivent, en vérité, très difficilement à gouverner, pour faire le bien et seulement le bien à leur semblables, qui ont besoin de dirigeants au grand cœur, travaillant pour la surveillance et le bien-être de ceux qu’ils dominent et auxquels ils doivent servir comme à de frères bien-aimés, travaillant ensemble pour édifier et soigner leur pays.
Oh, c’est fête de saints aujourd’hui et le peuple chrétien s’incline pieusement devant Sainte Parascheva, la protectrice du ciel sur le foyer du peuple roumain et généreuse bienfaisante pour ceux aux cœurs et aux désirs purs, mais beaucoup plus grande serait la joie des saints et de ceux qui respectent les saint sur la terre, si les hommes étaient capables d’une vie sainte, les commandements de Dieu toujours sur leur lèvres et aux actes de leur vie, et alors, Moi, le Seigneur, Je pourrais beaucoup agrandir Mon empire avec les hommes et le travail avec le ciel entre les hommes, qui ne manqueraient plus de Dieu, et Dieu ne sentirait plus si profondément le manque des hommes aimants de ciel, et en même temps on pourrait voir beaucoup de merveilles, réjouissant les croyants et renforçant la foi et l’amour envers Dieu dans le cœur de tant d’ hommes qui n’ont pas le Saigneur dans leurs pensées, ni dans leur vie, ni dans leur crédo, mais puisqu’il ne se passe pas ainsi, voilà que l’empire du péché s’est enraciné sur la terre avec les hommes et la méchanceté s’accroît dans les cœurs à cause de leur manque de Dieu , car les gens sans Dieu ne sont pas bons, même si leur naturel les aiderait à être bons, s’ils ne le sont pas pour Dieu, cela ne peut pas s’appeler fruit – recomposable et éternel de leur vie, mais il se perd ce fruit, en même temps que le lieu d’où il provient.
Moi, le Seigneur, Je viens parole chez toi et Je t’embrasse par Ma parole, peuple roumain, car tu as sur ton foyer le corps de Sainte Parascheva, celle qui a aimé Dieu durant toute son existence sur la terre. Oh, Je t’embrasse, peuple aimé de Dieu pour ton choix, car le Père t’a élu pour Moi, pour que
Je vienne ces jours-ci, parole sur la terre et pour que J’aie une maison où Je puisse descendre et être attendu lorsque Je viens, être reçu et aimé à Ma venue parole sur la terre.
Oh, paix à toi, peuple roumain! Paix à vous, cités et pays nommés chrétien-orthodoxes, selon le plaisir du Seigneur et de Ses saints. Oh, augmentez votre foi et veillez sur elle, car il est trop fort le vent qui souffle pour effacer de votre visage et de vos cœur la foi chrétien-orthodoxe, l’église que J’aime depuis le temps de ma chair sur la terre et jusqu’aujourd’hui et jusqu’à demain, oh, enfants aimés par Mon Père Sabbaoth. Je vous offre Ma parole, la parole de Dieu, oh cités chrétiennes selon la tradition du début, puisque c’est jour de fête aujourd’hui au nom de cette foi, dans laquelle Saint Parascheva a vécu et a aimé, témoin visible veillant entre le ciel et la terre sur la cité roumaine Moldova, un des trois pays roumains, au nom de la Trinité de Dieu: le Père, le Fils et le Saint Esprit, les trois dans un seul pays, Mon pays d’aujourd’hui, le pays de Ma parole à la fin du temps, car Moi le Seigneur, Je demeure avec Mes saints au-dessus, sur son ciel et Je parle depuis soixante ans sur le foyer de ce peuple, pour M’achever un livre et Me préparer par lui un peuple fidèle et saint, à Mon exemple, puisqu’on ne trouve plus de sainteté, ni quelque lieu saint, nulle part sur la terre, et Moi, le Seigneur, Je déplore avec les saints le manque de haltes saints où Je puisse Me reposer de Ma peine, de notre douleur de n’avoir plus de troupeau saint, pour que nous puissions le garder et le nourrir des douceurs célestes et éternelles comme Dieu L’est, et non pas passagères tel que l’homme, car l’homme passe comme l’herbe et n’a pas de place préparée dans le ciel, s’il n’a pas aimé Dieu sur la terre, pour qu’il puisse l’avoir de Père dans le ciel aussi.
Oh, Mon pays d’aujourd’hui, Mon pays chrétien, Moi, le Seigneur, Je te tiens sous grande surveillance céleste, car tous les saints veillent et t’embaument de parfums du ciel si le Père t’a choisi pour Moi comme table de festin de noces, maintenant, à la fin de temps. Oh, j’ai sur la table comme nourriture la parole de Ma bouche avec celle de la vie et du conseil et nous en offrons à tous les pays et surtout à ceux qui ont en leur milieu l’église et la foi chrétien-orthodoxes.
Voilà, je vous couvre aujourd’hui de Mon manteau et Je vous parle à vous, églises et pays orthodoxes, Je vous conseille de renforcer jour et nuit la veille et la foi et l’amour envers Dieu, car il fait noir partout où il n’y a pas la lumière de l’orthodoxie et Son Seigneur, Jésus Christ, Celui Qui a laissé il y a deux mille ans à Ses disciples Son royaume, pour le parsemer par endroit avec Sa semence sur la terre. Et voilà qu’ensuite des pays et des peuples ont monté toute sorte de croyances à Mon nom et ils s’arrogent le droit d’être au même rang que ceux qui s’appellent chrétiens sur la terre, mais Mon église est unique, il n’y en a pas plusieurs, elle s’appelle chrétien-orthodoxe, et les autres sont fausses, faites selon l’homme, pas selon la volonté de Dieu et Je n’aime pas ces formes de croyance et il est dangereux le mélange, oh, fils de la croyance sainte, car elles sont toutes peintes, sans lumière pour les hommes, mais c’est seulement Moi et ceux qui Me ressemblent par leur marche, leur tenue, leurs habitudes, eux seulement sont lumière tel que Moi Je le suis – la lumière du monde. Et voilà, les églises chrétiens-orthodoxes et leurs troupeaux, aussi longtemps qu’elles seront dans le monde, restent Sa lumière, tel que Je le suis, mais les hommes prennent leur obscurité pour lumière et le Seigneur n’a pas de place avec eux.
Oh, vous pays chrétiens, qu’il serait beau sur la terre si vous étiez inséparables dans l’amour du Christ et si vous aviez le pouvoir de travailler la lumière sur les peuples de la terre ! Mais vous, ces églises, vous n’avez pas travaillé pour augmenter l’amour envers Moi d’une à l’autre, et Mon pays roumain, Mon pays d’aujourd’hui, voilà, il n’a pas été ferme et a baissé sa tête demandant appui aux pays éloignés de Dieu avec la vie et la foi, et cela aurait dû autrement se passer, mais vous, pays chrétiens selon Ma volonté, vous vous êtes fabriqué des armes de guerre et vous les publiez et les montrez pour détruire l’amour d’entre vous et le changer en menace, car le menace n’édifie pas l’amour, mais la préoccupation le fait, oh, filles de la foi, et ce qui est plus douloureux c’est que les pays auxquels Mon pays roumain demande appui, et d’autres encore, ayant la foi peinte, essayent de corrompre les habitudes saintes, la tradition ecclésiastique de Roumanie, telle qu’elle a été reçue des parents et des saints, et cette préoccupation Me fait mal, beaucoup de mal, c’est pourquoi Je n’épargnerai pas le verge, si l’église orthodoxe arrive à faire le jeu des païens et tâcher encore son visage et sa chemise de noce, celle pour Mon festin de parole au milieu d’elle.
Oh, toi, petite cité, petite fille roumaine, détachée de ta maison paternelle, Ma Moldavie d’outre rivière, Je crie à toi: ne chancelle pas pour tomber de la vigne, car il est écrit que le sarment qui ne demeure pas sur la vigne, il se dessèche et on le jette au feu, tandis que celui qui demeure sur la vigne, Mon Père l’émonde pour qu’il porte plus des fruits, encore plus de fruit de vigne, et qu’il ne reste pas isolé. Oh, tu es si petite, seulette comme tu es, et que fais-tu aussi petite que tu es, devant ceux qui ont envie de toi, et sont tellement grands et menaçants, et non pas de bons amis, comme tu pourrais le croire maintenant, par ce temps d’incertitude pour ta liberté et pour le nom sous lequel tu es née?
J’ai voulu t’attacher, avec Ma paix et Mon pouvoir, au corps de Mon pays, dont tu fais parti, mais quand J’ai voulu, Moi, c’est toi qui ne l’as pas voulu, par ceux de toi qui te sont hostiles et étranges face à ton héritage, et à présent ton sort est dans ta propre main et Je te conseille de te mettre à genoux, avant que tes grands ne t’y poussent, puisqu’ils veulent que tu sois de leur côté, mais toi, prosterne-toi devant Moi et demande de la sagesse, pour que Je te la donne, que J’augmente ta foi et ta vigilance, oh, car tu es endurcie d’esprit, toute petite que tu es, après avoir été rompue et détachée de ta maison, de ta patrie-mère, oh, petite fille errante maintenant parmi les nations et les frontières, mais voilà que ton sort de demain est à ta main. C’est pourquoi mets-toi à genoux et sois sage, oh, Ma Moldavie d’outre rivière et ne te balance pas sur tes jambes, parce que J’essaie de t’aider si tu Me fais place près de toi, comme appui, car c’est là ton bien et non pas étrangère comme tu l’es maintenant.
Et toi, grand peuple comme étendue et comme nation, oh, paix à toi, peuple russe, tiens bon du côté de la foi sante et de l’église sainte, car tu as dans le ciel une mer de saints, grands avec la foi et les merveilles célestes au-dessus de toi, et ne laisse pas que le vertige te prend, tel que l’ont fait les serviteurs de l’église de Roumanie, le pays de Ma parole d’aujourd’hui, qui n’ont pas voulu M’écouter et obéir comme toi à Dieu, puisque tu n’es pas allé te mélanger à ceux qui sont en train de tâcher leur foi avec le mélange de péché et d’inclination vers le reniement des saints parents. Oh, paix à toi, église et troupeau chrétien, rallie-toi à l’esprit de ceux du ciel qui appartiennent à ton grand peuple, car grands sont les saints qui se sont élevés au ciel de ton milieu, durant les millénaire passés depuis que tes ancêtres saints M’ont reçu sur ton foyer et sont devenus le peuple de Jésus Christ, entre la terre et le ciel, agis de même, lutte et demeure ainsi, oh, peuple chrétien, mais regarde bien dans les livres, puisque Moi, le Seigneur, J’aime la sainteté, J’aime la paix, J’aime la fraternité, la miséricorde et la fidélité et J’aime le sacrifice à Mon plaisir, et Je dis à toutes les nations, pour qu’elles sachent de Dieu, que l’arme la plus forte pour la défense c’est l’amour envers Dieu et les frères, duquel vient la juste foi, la foi chrétien-orthodoxe, au milieu de la grande obscurité des peuples sans Dieu sur la terre.
Oh, peuple russe, ne t’inquiète pas! Aucun mal ne se lève contre toi du milieu du peuple roumain, car il n’y a pas dans la nature de ce peuple à faire le mal à un frère chrétien ou voisin, puisqu’il est un peuple au cœur doux et aimant, même si les nations sont maintenant inclinées vers la paix avec tous les peuples, car c’est comme ça qu’il est écrit, que l’un vit en paix avec tout le monde, tant que possible. Mais surtout, Je te conseille, toi, église du peuple russe de ne pas t’incliner à ce qui sont en train de tronquer l’obéissance à Dieu par l’église, telle qu’elle a été laissée par les saints et les parents, car, voilà, les serviteurs de l’église du peuple roumain ont fléchi et M’ont profondément attristé, Moi, le Seigneur, et tout le ciel saint, c’est pourquoi Je leur crie d’aller vers la repentance, avant qu’ils ne renversent pas tout seuls leur chandelier de la table, comme il est écrit pour ceux qui ne se repentissent pas, tant qu’il y a encore du temps pour se repentir.
Oh, prends position et conseille ton peuple, donne exemple aux pays chrétien-orthodoxes et exhorte ceux qui occupent les sièges des pasteurs à la constance dans la veille et l’obéissance aux parents, car il y a le grand risque d’être renversés de leur place les lois de Mon église sur la terre, et que le mélange y pénètre.
Ils pleurent les saints dans le ciel, pleins de douleur et de veille sur les églises du Christ, et voilà Sainte Parascheva de Moldavie, celle qui veille toujours au-dessus de tout le pays roumain et de toutes les nations, sœurs de foi et d’église, voilà sa parole de douleur pour les églises du Christ des pays chrétien-orthodoxes. Oh, voilà la voix des saints, ceux qui ont formé troupeau chrétien sur la terre, voilà une voix du ciel:
— D’auprès Toi et avec Toi, Seigneur, je pleure avec tous les saints frères, et nous appelons toutes les églises à pleurer avec nous, pour qu’il n’arrive point se perdre Ta semence de la terre, Ton église sainte, Seigneur, car Tu Te donnes toute la peine pour être son Sauveur, oh, Seigneur, alors que les ennemis veulent la perdre et la plonger dans leur obscurité, celle sans Dieu et pleine des actes du péché.
Oh, il faut que les chrétiens des églises n’oublient pas ce que les saints attendent d’eux, c’est pourquoi voilà ce que je leur dis:
Oh, enfants du Christ, vous nous demandez tout le bien pour vous, vous demandez toujours, dans les douleurs comme dans les joies, que nous intervenions auprès du Seigneur pour obtenir de la grâce, et de l’aide pour vous, mais voilà, nous vous demandons nous aussi de faire ce que nous avons fait sur la terre :la foi sainte, l’amour envers Dieu et la vie dans la sainteté, auxquels vous pouvez arriver par l’obéissance aux dix commandements, qui donnent de la vie de Dieu à ceux qui les suivent dans la voie vers le ciel. Du milieu du peuple roumain, d’où je veille sur ce foyer de Dieu-la Parole , le jour de ma fête entre les saints, je lance vers vous mon cri fraternel: Ne foulez pas aux pieds les commandements de Dieu, mais accomplissez-les avec grand amour, de sorte qu’ils soient pour vous toute la joie de votre vie, comme il convient aux chrétiens des pays chrétiens, qui ont comme liberté la vie avec le Christ, voie sur laquelle l’homme condamne le péché et se délivre de lui, tout comme moi je l’ai fait au temps de ma vie sur la terre, et j’ai gagné une place entre les armées célestes dans le ciel et nous servons au Seigneur et avec le Seigneur pour vous, entre le ciel de la terre et nous souhaitons que nous nous rencontrions, en servant à notre Même Seigneur, Jésus Christ, et que nous soyons un seul cœur dans Son amour, car notre Seigneur souhaite le bonheur éternel pour tous ceux qui L’aiment.
Moi Seigneur, d’auprès Toi et avec Toi je pleure, animée d’amour et de bonheur car voilà, j’ai parlé au peuple chrétien de la terre et de partout, mais Je T’offre à Toi, toute ma joie, tel que je l’ai fait sur la terre, puisque c’est à Toi seulement que j’ai servi, devant Toi seulement je me suis prosternée et s’est seulement Toi Que J’ai désiré et Que j’ai aimé.
— Moi, le Seigneur, Je mets le sceau de Mon nom sur ta parole d’amour, fille bien-aimée. Jésus Christ est ton héritage dans le ciel, et ce même héritage l’aura de Moi le peuple chrétien-orthodoxe de la terre, après M’avoir apporté chacun sa vie, pour en faire Mon royaume.
Oh, s’il n’y avait pas, à tout moment, les saints du ciel et les saint de la terre, comment pourrait-il avancer le temps, avec tant de gens incroyants et serviteurs du péché partout sur la terre?
Voilà, de Mon foyer du milieu du peuple roumain J’ai laissé couler la parole au-dessus du peuple chrétien de partout. Mais Je ne peux plus dire peuple chrétien, car il y en a beaucoup de ceux qui se proclament Mon peuple, bien qu’ils ne ressemblent ni à Moi, ni à la foi laissée par les saints, alors Je dis: peuple chrétien-orthodoxe, puisque c’est seulement dans ce troupeau que Je trouve Mon sens et Mon ordre, celui des débuts de Mon église d’il y a deux mille ans.
Oh, enfants de la foi juste, enfants de partout, voilà la demeure de Ma venue, d’où Je partage Ma parole au-dessus de la terre ! J’ai soixante années de parole écrite sur le foyer du peuple roumain. J’ai écrit Mon livre d’histoire au milieu de ce peuple. Oh, aimez le Seigneur et prosternez-vous devant Son marchepied, car Il est saint le Seigneur et Sa demeure dans Sa cité de parole, et on va chanter comme dans l’église le chant de gloire, car toutes les nations vont voir la rédemption venant de Dieu, et non pas des hommes, et les montagnes vont se réjouir de la face du Seigneur car, voilà, Il vient le Seigneur, Il vient juger la terre, comme il est écrit! Amen, Amen, Amen.
Et maintenant, peuple de la source de Ma parole, oh, Mes fils, Je vous encourage encore et encore à Mon travail avec vous, un travail pressant car les jours de travail s’écoulent l’un après l’autre et voilà qu’elle s’approche la fête des anges, lorsque Moi, le Seigneur, Moi et vous, Mes fils, nous allons ouvrir largement les portes pour accueillir des hôtes de partout et leur donner du réconfort et doux conseil de persister jusqu’à la fin auprès du Seigneur, Qu’ils ont choisi.
Oh, ayez confiance en Mon pouvoir, en Mon pouvoir en vous, Mes fils, et ensuite seulement nous allons nous reposer de notre fatigue, agréable repos goûté après chaque travail achevé, que J’accomplis avec vous.
Que vos mains travaillent ensemble sans relâche, et laissez les anges entrer en vous, pour qu’ils puissent travailler du ciel, Mes fils, car il est saint et il est grand ce travail.
Oh, que la paix soit parfaite entre vous, en obéissant les uns aux autres, et travaillez en rachetant chaque petit moment, puisqu’il s’approche le temps de dresser la table de la fête d’automne, la fête des anges, oh, Mes fils.
Moi, le Seigneur, Je vous habille de l’esprit des pouvoirs célestes, Mon encouragement suivra vos pas et vous allez pouvoir achever tout ce qu’il y a encore à faire, en vous émerveillant de voir combien il est grand celui qui est avec Dieu et Dieu avec lui car Moi, le Seigneur, Je souhaite que vous soyez comme Moi,
Mes fils, que Je Me vois en vous et vous en Moi et c’est ainsi que l’on atteint Ma mesure avec l’homme, la mesure de l’amour, oh, Mes fils. Amen, Amen, Amen.