2024 12 Fév

La Parole de Dieu au Jour de Fête des Trois Saints Prélats: Basile, Grégoire et Jean

Je fortifie tout d’abord la paix sur la cité de Ma parole, car on a jour de fête de saints prélats et Je dois mettre table de parole et J’ai besoin de voie forte pour réaliser Ma descente et l’œuvre du jour.

Je vous trouve complètement frêles, le cœur accablé et l’esprit impuissant, fils qui gardent les portes. Moi, le Seigneur, Jésus-Christ, J’ai besoin de pouvoir en vous pour Moi, et Je dois toujours réparer votre force et vous élever afin que vous M’accueilliez, oh, car Je ne peux vous épargner si J’ai tant de travail sur la terre, les fils. Je voudrais que vous puissiez agir pour Moi seulement, pour que Je puisse faire par vous Mon travail pour lequel Je vous ai préparés, mais elles viennent sur vous des impuissances à porter, qui vous affaiblissent comme maintenant, et Je ne vous trouve pas forts pour Mon travail avec vous.

Oh, comment faire qu’ils sachent bien cela tous ceux qui cherchent et attendent de vous des pouvoirs pour eux, en temps que c’est Moi, le Seigneur, Celui Qui partage et Qui offre, Moi et Mes saints vainqueurs et consolateurs pour ceux qui les appellent d’auprès de Moi, les fils? Oh, J’ai besoin de vous pour Moi et Je ne peux agir par vous parce que vous êtes faibles et épuisés de forces. C’est Moi Celui Qui donne de l’apaisement et des consolations, et Je peux pour ceux qui Me le demandent, et vous, vous êtes des serviteurs pour Moi et pour Ma parole qui vient sur la terre, et c’est elle qui peut, pas vous.

Je vais vous conseiller, les fils, encore et encore, afin que vous sachiez comment garder votre force et votre paix prêtes pour Mon travail de ce temps au-dessus de la terre, et voilà, aujourd’hui c’est jour de table de parole et Je dois mettre sur la table lettre à envoi, le conseil des pères du ciel, en assemblée en ce jour auprès de Ma parole, et que la communauté chrétienne appelle les saints pères, qui ont laissé pour Mon église la marche sainte et bien établie pour toujours de Mon troupeau et des pasteurs de troupeau, et sur la terre elle est presque totalement affaiblie l’obéissance de la part des pasteurs et du troupeau, face à la loi sainte laissée des pères pour diriger Mon église, et voilà jour de conseil céleste prend place dans le livre de Ma parole, et à la table d’assemblée, parmi les premiers pères et prélats de Mon église se tiennent aujourd’hui avec leur conseil les plus grands d’alors: Basile, Grégoire et Jean, les prélats du fondement et de la résistance établis de Moi par eux, pour que Mon église reste toujours victorieuse, non pas jeté bas par les ennemis, Mon église depuis deux mille ans avec Mon nom et Mon mystère par elle sur la terre.

Allons-Nous mettre à table, Moi et vous, pères saints du troupeau du Christ, celui du premier temps de Mon église! Qu’elle soit bénie l’œuvre de la parole céleste et le livre qui s’établit en ce jour par le conseil du ciel des saints pères, les débutants qui ont affermi ensuite le mur et la marche de Mon église, tout le long du temps.

Moi, Jésus-Christ et vous d’une côté, et de l’autre les fêtés d’aujourd’hui, prélats de Mon troupeau au début, et avec vous en ce jour l’apôtre André d’un rang avec vous, et ensuite, la troupe des prélats du ciel, Nous travaillons d’en haut et Nous organisons sur la terre Notre conseil.

J’ai commencé avec vous en 1955 le fondement et la bénédiction de l’œuvre de Ma Parole sur la terre par Ma trompette Virginie, et l’année prochaine il y aura soixante-dix ans depuis lors. Il s’est passé alors votre descente dans sa pauvre petite maison après son jeûne de quarante jours, car J’ai dû claironner par elle Ma parole au-dessus de la terre. Oh, quel beau, quel grand début alors! Vous êtes venus, vous avez pris soin d’elle et vous lui avez donné les saints mystères, Mon corps et Mon sang, et depuis lors vous êtes restés les prélats du troupeau qui portait le nom de peuple de Virginie, et vous avez travaillé secrètement tout le temps par l’œuvre de Ma parole, et c’était Moi seul à savoir votre secrète œuvre tout le temps sur le peuple de Ma parole.

J’ai pris Virginie au ciel après vingt-cinq ans de Mon travail par elle, et ils sont passés ensuite dix, et vous voilà de nouveau travailleurs en secret, auprès du prélat fidèle de Ma parole sur la terre alors, et on a établi au travail saint des fils de Ma parole, pour haut service et renouvelé du ciel sur la terre par la parole. Vous êtes tout le temps, de la part de ceux du ciel, des prélats pour le peuple de Ma parole, oh, et comment comprendre et croire cela les serviteurs d’aujourd’hui, du moment que c’est à peine, à peine qu’ils puissent croire que Dieu existe et qu’il y a les saints travailleurs du ciel, tout comme l’ordre qui doit être gardée dans l’église? Comment pourraient-ils croire que l’on travaille du ciel par l’esprit de la prophétie et on nourrit un peuple sur la terre, et il témoigne ce peuple et il partage Ma parole des extrémités aux autres extrémités ?

Oh, Nous ne trouvons plus de foi sur la terre, Mes bien-aimés. Ils Me tiennent à la porte de l’église, ils ne M’ouvrent pas pour leur parler, mais J’entre et Je leur donne la parole, même s’ils se taisent et ils ne donnent pas de signe, car chez eux il est blotti l’ennemi antéchrist qui fait son œuvre hostile, et il est reçu et suivi des pasteurs de l’église. Mais Moi, tout comme il y a deux mille ans, Je suis laissé de côté, on ne Me répond pas. Depuis deux mille ans cet ennemi est blotti entre les serviteurs d’autels, tout comme de votre temps, Mes chers, mais vous le découvriez de partout, et vous luttiez contre lui et vous protégiez le troupeau et l’enseignement saint et pur, et vous combattiez de la part du Christ.

J’ai commencé l’œuvre de Ma parole en 1955 et ils M’ont pris Ma trompette les prêtres de l’église, et ils l’ont donnée à la persécution! Pas un d’entre eux n’a pas essayé d’observer attentivement la prophétie et le pouvoir de Ma parole, par contre ils ont essayé de détruire toute Ma marche par ceux qui Me portaient et Me suivaient pleins de foi et d’espérance, auxquels J’offrais ces dons saints. C’est seulement du ciel que Nous avons fortifié la marche de cette parole et peuple, et de la terre les premiers ennemis étaient les prêtres. Mais Moi J’ai marché, Je ne Me suis pas arrêté, Je ne Me suis pas tu et J’ai écrit cette histoire, qui parle maintenant à la lumière et elle se partage aux quatre horizons, et les serviteurs d’autels se taisent et ils cueillent ainsi grande honte sur leurs têtes, et bientôt, bientôt ils supporteront cette honte, car Moi Je Me révèle de plus en plus, toujours plus vrai, toujours plus accompli par la parole.

Il y a deux sortes de pasteurs serviteurs dans les maisons nommées églises. Une partie d’entre eux soutiennent et bâtissent le troupeau et le paissent avec miséricorde, mais la plupart d’entre eux ont donné la main avec l’antéchrist, caché depuis deux mille ans au milieu d’eux, et ils travaillent à son plaisir, des uns aux autres, pour abattre l’établissement de Dieu et la marche sainte du troupeau chrétien, et ils ne s’inquiètent pas de la perte et de la vie des brebis, mais ils ont besoin seulement de leurs laine, beurre et fromage, et ils les laissent périr de la part de l’ennemi caché sous vêtement de saint, et ils donnent à la mort les saints d’entre eux, n’ayant pas peur du jugement de leurs actions.

Voilà, Je viens juger entre brebis et brebis comme il est écrit, et Je viens Me juger avec les pasteurs de Mon troupeau, qui devaient prendre soin de Mon troupeau, non pas Me le laisser à l’ennemi, et Je leur dis cela en assemblée de saints:

C’est grand péché que vous faites en disant de s’unir les troupeaux ensemble, sous la parole qui dit qu’il sera un troupeau et un Pasteur! Oh, il est bon que vous preniez pour lire la parole de l’Ecriture, mais Je vous demande maintenant à propos de cette parole. Répondez-Moi qui est Ce Pasteur Unique? Oh, voilà comment accomplissez-vous cette parole, en offrant le troupeau et vous-mêmes aux mains de l’antéchrist, celui qui se veut unique sur le troupeau et qu’il soit à lui votre troupeau, et on voit cela par l’œuvre que vous faites contre Jésus-Christ, le Pasteur Qui vient paître et vous ne Le recevez pas, oh, et vous ne laissez pas les chrétiens de suivre Sa voix, car il est venu le temps que Je paisse Moi-Même le troupeau, celui dépourvu de pasteur.

Nous jetons les fondements du procès en ce jour, Nous écrivons les faits et Nous mettons la vérité à parler maintenant, puisque vous, prélats et prêtres, vous nommez hérétiques et sectaires ceux qui se sont détachés du troupeau et ils se sont égarés par manque de pasteurs pour eux, oh, et c’est toujours ainsi que vous nommez ceux qui vont selon les traditions saintes sur la voie vers le ciel, et vous les appelés égarés, seulement pour le fait que vous n’aimez pas travailler pour vous la sainteté, et vous donnez plutôt à votre assemblée ceux qui se renoncent pour la marche avec Moi vers le ciel saint.

Oh, reconnaissez-vous, vous-mêmes, coupables et pilleurs et vendeurs des fils de Mon église, et reconnaissez votre œuvre hostile, avec laquelle vous servez au pasteur antéchrist , et ceux qui vont après Moi Je les pais Moi-Même, car c’est ainsi qu’il est écrit dès le temps des prophètes, et puis c’est Moi-Même qui ai dit cela il y a deux mille ans sur Ma venue en Pasteur du troupeau chrétien, et voilà, J’accomplis et Je viens, oh, et vous ne vous en réjouissez pas, mais ni vous y opposer vous ne le pouvez pas, car voilà, vous êtes sous la coulpe, vous êtes étrangers à ce que vous devez être et travailler, car vous avez vendu et vous vendez à l’antéchrist Mon troupeau, et vous êtes un troupeau de pasteurs pendant que Mon troupeau et quitté de vous, il est vendu, agenouillé et arrêté de venir et entendre de Dieu la voix du Pasteur, Qui vient rassembler les brebis et leur donner du ciel.

Voilà ce que Je fais! Je Me sers et Je M’aide avec ce petit peuple, par lequel Je vous parle à vous aussi, Je le garde pour Moi propre de toute dégradation venue du mélange et Je lui apprends de ne pas toucher profit étranger pour Ma marche avec lui, puisque la terre est toute souillée, souillée du péché, des tromperies, de l’envie de péché, de l’esprit de débauche et de cupidité, mais Moi, le Seigneur, Je conseille à part et de près Mon petit peuple et Je lui dis d’avoir ses propres mais pour les choses nécessaires pour Moi et pour lui, et c’est ainsi que Je M’aide avec les Miens, Je ne suis le débiteur de personne, ni Moi, ni eux, et c’est ainsi que Je les garde, pour avoir leurs mains propres, et qu’il soit travailleur Mon petit peuple, qu’il cueille les pierres de la rivière pour que Je Me bâtisse avec lui cité de pierre, Ma cité avec eux, et eux, ils obéissent ainsi, et ils travaillent de leur petites mains pour les choses nécessaires, oh, et c’est tout aussi que J’apprenais à Mes disciples d’il y a deux mille ans, et voilà Mes disciples d’aujourd’hui, dont tout le monde admire l’application, leur travail beau et propre, propre de sale profite, sans effort obtenu.

Vous dites toujours qu’il n’y a plus de prophétie, et Moi Je vous dis que Dieu est toujours aujourd’hui, et J’ai promis que Je serai et que Je viendrai de nouveau, mais vous éloignez Ma venue et vous dites: «Pas maintenant».

Mais Je tiens conseil avec vous et Je vous demande: Quand? Vous pouvez Me répondre? Oh, vous n’avez pas appris les Ecritures et les signes des temps y écrits. Vous ne voulez ni dès maintenant lire et croire, et Moi Je ne Me laisse pas calculer de vous pour venir et quand venir. Je vous ai parlé en ce jour de fête pour les prélats, en assemblée de prélats, et voilà qu’ils laissent leurs noms dans Mon livre d’aujourd’hui vers vous, ils disent comme Dieu eux aussi, et Je leur donne la parole pour s’exprimer.

— Nous sommes des prélats en service du ciel par l’œuvre de Ta parole de ce temps, Seigneur. Nous sommes plus vivants que ceux vivants en chair, et nous sommes les saints du ciel travailleurs sur la terre, et les chrétiens nous adressent des prières pour eux, pour ceux de la terre. Gloire à Toi pour Ton livre d’aujourd’hui avec nous, envoyé vers le troupeau de pasteurs sans gouvernail du ciel pour eux, et qui se sont donnés au pasteur antéchrist, celui qui égorge les brebis, les disperse et les détourne, comme il est écrit!

Il y aura un troupeau et un Pasteur, c’est ainsi qu’il est écrit. Le Pasteur c’est Toi, et Ton troupeau c’est Toi seul à le connaître et le compter, car ils n’ont pas quoi compter, du moment que ni eux ni ceux qui se trouvant sous eux ne Te suivent pas, Seigneur. Un troupeau de pasteurs serviteurs de l’antéchrist, caché dans la maison nommée église, c’est tout qui existe encore, et le troupeau s’est dispersé par manque de pasteur pour lui. Nous sommes Tes témoins depuis deux mille ans, et nous sommes restés les dirigeants de Ton troupeau, que Toi Seul connais et pais secrètement, Seigneur. Nous restons des serviteurs pour le peuple de Ta parole, et Toi, bénis son œuvre devant Toi tout le temps, Seigneur, tout que Tu nous as établis dès le début de Ta parole au-dessus de la terre en 1955, par ta trompette Virginie, et en ce jour nous écrivons nos noms dans Ton livre écrit maintenant et envoyé vers le troupeau de pasteurs du peuple roumain, au milieu duquel Tu travailles depuis soixante-dix ans Ta parole au-dessus de la terre.

— Oui, Mes chers témoins, tout d’abord Mon nom, Jésus Christ, et puis le vôtre, les trois, Basile, Grégoire et Jean, en ce jour de votre mémoire entre les saints de Mon ciel, et il va maintenant ce livre et il prend place en témoignage à l’adresse du troupeau de pasteurs, nommés à nom saint pour le troupeau du peuple roumain. Amen.

Maintenant, fils qui Me portent pour venir en parole sur la terre, tenez-vous encore et encore sous le renforcement venu de Moi, car il est toujours trop accablé votre cœur, et elles vous affaiblissent trop toutes les choses qui se veulent portées par vous, car c’est Moi, seulement Moi Qui doit avoir de vous de la place pour Me porter, et il est lourd votre fardeau.

Qu’il vous protège tout le peuple qui se nourrit de Ma parole. Il y a dans le ciel tout dont il a besoin celui qui veut du ciel, il y en a dans le ciel, pas chez vous, les fils. C’est Moi Qui donne à celui qui Me demande, c’est Moi Qui apaise, c’est Moi Qui panse, c’est Moi Celui Qui a dans le ciel, à condition qu’il cherche vers le ciel celui qui cherche pour lui. Donc, prenez soin de vous pour Moi, car J’observe combien vous êtes faibles pour porter tant, les fils. Oh, tenez-vous à l’abri, car J’ai besoin de silence, de paix, de travail avec vous, et voilà, les hommes du monde essayent de venir à Ma suite lorsqu’ils entendent Ma parole, qui souffle au-dessus de la terre et elle appelle les brebis perdues, oh, et que puissé-Je faire pour toi, homme, que faire pour toi si les pasteurs ne te cherchent pas, mais par contre, ils t’arrêtent de prendre de Dieu. Oh, cherche toi-même ta guérison car il n’y a personne sur la terre à t’encourager, et tu passes le temps en péchés toujours, et tu n’es pas guéri de l’esprit éphémère. Oh, reviens à toi, homme baptisé à nom et esprit de chrétien! Ne cherche plus la femme. Cherche Dieu, puisque la femme t’arrache de la vie éternelle de la terre déjà, parce qu’elle se veut aimée et elle met fin à ton aller après Moi, oh, n’habite plus la terre de Dieu en commettant péché après péché, car voilà elle est comblée partout la terre de péché, et l’homme va seulement avec le péché dans sa pensée, il cherche d’apaiser son envie de pécher. Tu t’es baptisé avec le nom de Jésus Christ, Qui a payé ta vie avec Sa mort sur la croix et Il est ressuscité ensuite pour t’apprendre et t’appeler vers Lui. Mais toi qu’est que tu fais? Oh, ne te soumis pas à l’esprit éphémère, et si tu le fais, tu perds la veille pour ton éternité sur la terre et dans le ciel, et la vie du vrai chrétien est toute une veille pour l’éternité, et si cette veille n’existe pas, il y a la chute toujours, il y a un passage éphémère et c’est tout, et aucun fruit ne s’amasse pour t’attendre et t’ouvrir la porte du paradis.

Oh, rends toi-même le paradis de Dieu, homme baptisé avec nom et esprit de chrétien, et ensuite tu reconnaîtras Dieu, car Il va Se découvrir à toi et tu seras porteur de Dieu. Amen.

Nous laissons la plume, les fils, et, en M’inclinant pour Mon accueil en parole dans le livre, Je dis avec douceur et avec apaisement, avec consolation et onguent saint Je dis: Paix à vous, fils qui recevez Dieu! Paix à vos cœurs et au pouvoir qui s’y trouve ! Gardez vos pouvoirs pour Moi seul, seulement pour la gloire de Ma parole, qui vient sur les nuages au-dessus, pour que vous la mettiez dans Mon livre celui d’aujourd’hui avec vous, oh, les fils. Amen, amen, amen.