La Parole de Dieu à la Fête de Sainte Parascheva
Je suis vêtu en parole et Je Me tiens devant vous pour que vous Me receviez et Me donniez à ceux qui Me cherchent et Me trouvent chez vous et avec vous, et à ceux qui ne Me cherchent pas, afin que Je sois leur Dieu, les fils. Je Me sers de vous pour pouvoir accomplir la volonté de Mon Père, pour pouvoir venir sur la terre en parole, pour pouvoir sauver encore quelque peu de la bouche ouverte du diable, l’ennemi de Dieu et de l’homme, et qui est prêt à tout engloutir, tout, pour que tout soit le sien, et que Dieu, le Créateur reste vaincu et avec le travail perdu, mais voilà, Moi, Celui Qui a vaincu par la souffrance, par l’humilité et ensuite par la résurrection, après une mort honteuse sur la croix, Moi, Je suis Celui Qui est envoyé du Père, en parole sur la terre maintenant, pour Me préparer grande victoire, en même temps avec la mauvaise et cachée lutte de satan, qui travaille pour ceux gagnés de sa part, et qui travaillent leur propre défaite par l’obscurité de leurs actions, mais Dieu c’est de grande lumière, et satan a peur et se cache avec son œuvre, qui sortant à la lumière, ne fait que fondre comme la cire auprès du feu, et c’est Dieu Qui va vaincre, parce que c’est Dieu Qui a fait les cieux et la terre par Son pouvoir, par la parole.
Je parle avec vous, les fils, pour que vous Me confiiez à ceux qui Me prennent de vous. L’homme ne sait pas ce que cela signifie Dieu. Ils ne le savent pas non plus ceux qui ont été guidés vers vous par Ma miséricorde de Pasteur, voilà, ils ne le savent pas tous, eux non plus, et pour leur donner l’occasion de savoir, Je viens en parole et Je parle, pour établir la sagesse nécessaire à la voie avec le Seigneur, la voie de l’homme qui Me cherche. Si l’homme Me cherchait seul, il ne Me trouverait pas, et cela parce qu’il n’a pas le cœur pur, car il est écrit: «Ceux qui ont et qui voient Dieu sont ceux qui ont le cœur pur et ils sont les heureux». Par pitié pour l’homme Je descends et Je Me montre dans son chemin, afin qu’il cherche ensuite Dieu pour lui-même, et qu’il ne demeure pas sans maître sur la terre, car malheur à celui qui n’appartient à personne après avoir été né et après avoir reçu l’âme comme cadeau de Dieu!
Il y a des hommes et des hommes. Quelques uns veulent être avec Dieu dans l’état où ils se trouvent et ils cherchent recevoir de Dieu, non pas de se donner eux-mêmes à Lui. Il y en a d’autres qui peuvent agir comme Dieu, c’est-à-dire tel que Je l’ai dit, par le renoncement à soi, pas autrement, et celui qui ne peut faire cela, oh, comment pourrait-il un tel homme accomplir les commandements de la vie éternelle: l’amour de Dieu plus que l’amour de soi-même, plus que l’amour des parents et des frères, de mari et de femme, plus que l’amour pour les enfants, pour toute parenté et amis, l’amour pour tout ce qu’on amasse, choses qui ne font pas qu’embarrasser la vie avec le Seigneur, plus encore, elles le séparent de Dieu et de la voie avec Lui?
J’habille en parole tout ce qu’on travaille, œuvre cachée aux yeux, et qui représente du danger pour la marche d’aujourd’hui de Ma parole. Oh, qu’elle est difficile Ma marche, et toujours plus difficile, car vous êtes frappés, les fils, vous êtes méprisés, poussés sous la coulpe par les hypocrites, par les faux-semblants, par ceux qui veulent se servir de vous pour leurs propres volontés, pour d’autres choses que leur voie avec Dieu, et lorsque quelques uns d’entre eux entendent de Ma bouche la parole sur leur mauvais travail et dangereux pour eux et pour Ma marche, oh, ils ne se corrigent pas, ils ne s’inclinent pas, il ne se repentent pas, mais seulement ils ont peur qu’on ne découvre pas ce qu’ils travaillent en cachette selon leur volonté, car certains d’entre eux ont choisi de partir, s’ils ont eu ou pas où aller, mais pour s’éloigner, disent-ils, de Mon œil, et ensuite se sentir libres pour accomplir leur volonté loin de Dieu, tout comme Adam, après la séparation de Dieu par le péché.
Lorsque Je vois le chrétien étourdi, Je viens et Je revêts en parole son œuvre cachée, nuisible pour lui et en dommageable par sa dissimulation, Je viens pour qu’il entend que c’est Moi, le Seigneur, Je suis par la parole, Je suis vue et ouïe tout le temps, pour la marche et la veille sur Mon peuple fidèle, et que J’ai mal et Je M’inquiète, que Je fortifie la garde des membres de Mon église, Ma maison, dont le fondement a été mis il y a deux mille ans, mais puisqu’elle est tombée sous les coups des ennemis de son intérieur et de ceux d’auprès d’elle, Je l’ai élevée sur son premier fondement, maintenant, à la fin de temps, et Je l’ai consolidée afin qu’elle résiste, et que Je vaincs Moi, avec la fin de Mon mystère, à savoir même avec le début d’alors par Ma première église, le rocher inébranlable avec son mystère, sous n’importe quel sorte de tempêtes.
Ils étaient enflammés pour Moi les premiers chrétiens, fils de Mon église, et Je la tiens en secret avec tout son mystère, depuis lors et jusqu’aujourd’hui, oh, et c’est pour cela que vous n’êtes pas connus, pas même de ceux plus proches de vous, les fils.
Ils vivaient et ils mouraient pour Moi les fils aimants de Dieu et ceux aimés de même. Je parle à ce qui se sont approchés de ce feu saint et Je leur dis cela: vous, la plupart de vous, ceux qui vous vous êtes approchés, vous avez frappé et Je vous ai ouvert par pitié, vous avez marché en même temps avec l’animation, mais aussi en continuant d’agir selon vos vœux. Votre charité s’est enflammée en découvrant Mon amour et Ma venue sur la terre. Mais ensuite vous vous êtes retournés à vos vœux, avec votre vie et votre action, et Moi, comme un Pasteur miséricordieux venu après les brebis, pour leur bien, Je vous ai toujours suivis pour découvrir en vous, en quelque sorte, de la pitié pour Moi, de l’amour et de l’accueil, les fils, puisque J’aurais voulu être votre guide en tout, sur la voie et pour tous vos pas visibles et invisibles, et J’ai attendu de vous avoir en marchant et en travaillant selon Ma parole, pour qu’il ne vous arrive pas ensuite de tomber en faute avec l’indifférence de l’âme, et devenir froids envers Moi, en vous retournant à la nature de l’homme commun, celui qui travaille selon sa volonté, et se croyant ainsi appartenant à Mon troupeau, celui gardé par Ma lumière.
Oh, si tu n’es pas pur de cœur et de son action, tu ne pourrais pas comprendre et suivre le Seigneur, fils, irréfléchi. Et Moi, le Seigneur, Celui Qui aurait pu être utile pour toi, Je dis à ceux auxquels J’ai donné la mission de te conseiller et te surveiller, puisque tu n’as pas voulu qu’ils te soient utiles dans le chemin vers le Seigneur, Je leur dis cela:
Oh, les fils, vous qui veillez sur Ma venue et Ma marche, ne vous inclinez pas, ne vous inclinez plus pour comprendre et recevoir l’homme selon son plaisir et son intérêt, puisque l’homme est caché, il se cache l’un derrière l’autre il ne peut autrement, et pas question d’humilité, de soumission, d’amour envers Dieu entre les frères. Oh, Nous laissons passer ainsi jusqu’à la moisson pour chacun, parce que la moisson travaille, elle fait le tirage incessamment sur chaque seconde, pendant que vous êtes jugés tout le temps par ceux qui ne renoncent pas à leur propre volonté, pour leur œuvre cachée et dangereuse pour eux par sa dissimulation.
Oh, peuple dirigé pastoralement par Dieu, c’est Moi seul à savoir ton nombre, combien il est grand ou petit en son ensemble, et Je te l’ai dit déjà que tu es libre de choisir ce que tu veux, mais Je le suis, Moi aussi, et Je choisis. Celui qui ne sait pas ce que cela signifie l’église de Jésus Christ, un tel homme ne peut appartenir au Christ. Et comment cela? Moi, le Seigneur, Je vous rappelle des premiers fils de Mon église d’il y a deux mille ans, et vous allez voir quelles sont vos fautes et combien vous êtes tombés en faute, parce que vous n’avez pas voulu être guidés pour pouvoir être les véritables et les purs de cœur et d’action et seulement ensuite avec la foi, pour qu’elle vous soit scellée.
Et voilà, si tu te caches des autres avec une pomme, avec quelqu’argent, demain tu vas te cacher avec un homme dans l’obscurité, pour ne pas être vu de ceux d’autour de toi, membres du corps du Christ, oh, et c’est ainsi qu’il se rompt peu à peu, homme par homme, ils se rompt du corps du Christ et de Son armée, et c’est ainsi que celui qui se cache arrive à réjouir le diable, qui va amasser chez lui les choses de l’homme, celles travaillées à son goût.
C’est ainsi le règlement de Mon Eglise et pas autrement, et si on travaille autrement, ils apparaissent de mauvais esprits qui se mettent au travail, et le diable vient prendre sa part, et voilà, qu’il est difficile pour le chrétien d’être fils et membre de Mon Eglise. Moi, c’est ainsi que J’ai commencé cette construction, mais voilà, c’est une autre chose qu’ils ont compris ceux qui ont commencé à chanceler après être tombés en faute, et Moi, Je parle pour qu’on sache où et comment on a été et on est en faute, et elles chavirent dans l’obscurité Mes choses, qu’on ne veut pas être travaillés avec humilité et avec Ma lumière.
Oh, c’est ainsi que le chrétien perd son premier amour, la timidité, la joie venue de ceux-là, joie sainte entre les frères, et ensuite les frères se séparent facilement, bien plus, ils s’attaquent entre eux, et la pauvreté et le peu de tout, oh, on ne trouve plus cet amour chrétien, pour que Je Me réjouisse Moi du chrétien, que Je demeure avec lui et qu’il Me ressemble. Et Moi Je pleure de tristesse, pendant que satan se réjouit avec tous ses serviteurs, pour le manque d’amour de Dieu du chrétien, et d’entre chrétien et chrétien.
Oh, vous ne pouvez pas vous appuyer sur personne, fils qui vous trouvez devant Mon armée d’aujourd’hui, tout petite qu’elle soit, mais qui peut avoir le Seigneur comme Pasteur, Celui Qui lui dit: «Ne crains pas, petit troupeau! C’est à toi que le Père donne l’empire».
Oh, n’ayez pas confiance en ceux qui se cachent de vous, les fils. Ils croient que c’est de vous qu’ils se cachent, mais ils ne peuvent autrement Me prouver la pureté de leur cœur, que par toute la vérité, d’entre eux et ceux d’auprès d’eux, établis par Moi, car sans intermédiaire, il n’est pas possible d’être avec Dieu, puisque c’est ainsi que Dieu a établi Son église, et quand l’homme n’a pas le cœur pur, il cesse peu à peu d’aimer le Seigneur, et il s’éloigne peu à peu, et cela le découvre qu’il n’a pas le cœur pur et qu’il a perdu le Seigneur, car le mécontentement sous lequel se place celui atteint par la froideur vient du manque d’amour de Dieu et du prochain, ou du refroidissement de leur amour envers Dieu. Et Moi, Je vous fais connaître tout ce que vous devez garder près de vous, mais c’est seulement de Moi que vous devez prendre, les fils, puisque l’homme est terriblement faux, et celui qui se cache de vous n’est pas pur ni pour lui-même.
Oh, vous ne pouvez pas vous appuyer sur personne, les fils. Ceux qui apprennent les uns des autres de cacher et de se cacher, ceux-là travaillent à la propre perte et à celle des autres, perte venue du cœur qui n’est pas pur. Ceux qui se cachent tyrannisent leurs âmes-mêmes, et le manque de lumière les éloigne de Dieu. Et ceux qui apprennent la dissimulation à ceux d’autour d’eux, ils sont comme le loup qui tue la brebis, lui suce le sang, la laisse par terre et s’enfuit, et voilà, l’homme a plus d’ennemis que d’amis, et les ennemis deviennent des ennemis du rang des amis, et pas autrement.
Oh, c’est un rafistolage ce que tu fais avec ta vie à Ma suite, oh, chrétien étourdi par tes propre voir et vouloir. Quand Je vois que tu ne peux vivre sans agir selon ta volonté, toi et ceux d’autour de toi, quand Je vois que tu te cherches, que tu as besoin d’être toi-même, de vouloir toi-même, de suivre tes désirs, que tu veux que Je ne t’en brouille pas, Moi, oh, Je vois comme tu te sépares de Moi, remplaçant Ma volonté par la tienne, après t’avoir fait beaucoup de mal par tes vœux, par tes œuvres inconnues des autres, par les recherches de ton cœur. Oh, si tu étais au milieu du monde et si tu avais cette conduite, le monde ne serait plus patiente avec tes vœux, et tu souffrirais et tu verrais où te mènent tes vœux, car voilà, c’est cela qui a fait sortir de Mon petit bateau ceux qui ont désiré pour eux d’être libres de Dieu de cette rivière de parole, et que Dieu ne leur demande plus d’obéir au bien et à la garde de leur vie sur la terre. Voilà, Moi non plus. Je ne suis pas à votre goût, ni vous au Mien, puisque nous nous inclinons de deux côtés, et cela c’est du rafistolage, et Moi, Je choisis être avec la patience, comme le Dieu que Je suis.
Oh, fils sans sagesse pour toi et pour ceux d’autour de toi, il n’est pas bon le mensonge, ni la diffamation portée d’un côté à l’autre. Et tout ce que tu caches de Moi et des frères, et avec n’importe qui tu le fais, tout cela te cache de la face de Dieu, et il t’arrive comme à Adam, qui s’est caché lorsque Je l’ai cherché pour lui parler et le traiter doucement, après qu’il ait commis le mal de ne pas obéir à Dieu et se cacher ensuite avec le mal commis. Tout ce que tu caches, tout ce que tu veux faire en cachette, cela s’appelle ténèbres et mort, mais voilà, tu n’as pas la sagesse de croire, si tu l’as celle de te cacher, et la désobéissance c’est la mort, et Moi, Je viens et Je revête en parole les faits cachés, afin que tu comprennes que Mon œil ne dort pas un instant et il voit ce que tu fais, et il voit que tu ne Me reçois pas, pour que Je puisse t’aider au temps de ta faute.
Vous vous provoquez le plus grand mal les uns aux autres lorsque vous accomplissez la volonté les uns aux autres, fils irréfléchis, parce que ce n’est pas cela que les chrétiens doivent travailler, mais c’est Ma volonté. Vous tombez tous en faute par la pitié nuisible, vous êtes en faute envers la justice de Dieu par elle, et c’est ainsi qu’arrivent ensuite des dissensions, une conduite inconvenante par les faits et les paroles. Oh, il serait bon que vous n’ayez plus de relations comme des frères terrestres pour Moi et c’est tout, pour vos besoins de la chair et c’est tout, parce que ces choses-là vous mélangent, vous troublent la conduite, elles font se lever des prétentions, des envies, du manque d’humilité, des mécontentements ensuite, et vous ne vous conduisez plus convenablement.
Fils, vous qui portez Ma charge d’aujourd’hui, consolez les écrasés, au cœur brisé et comblé de douleur, consolez-les, les fils, car pour vous non plus il n’y a pas de consolation, et il n’existe pas de plus grande douleur que ce brisement, qui vient de ceux qui n’ont pas le cœur pur, qui travaillent à deux bouts, face à vous et face à Moi, et les uns face aux autres, selon leur intérêt tout à fait stupide. Celui qui procède ainsi avec vous, c’est avec Moi, pas avec vous qu’il le fait, mais vous êtes vous aussi frappés, même si Je M’entrepose entre vous et ceux qui vous frappent, pour leur intérêt travaillé en secret. Mais Moi, J’ai besoin de pouvoir en vous, et Je le leur dis.
J’ai habillé en parole tout ce que peut nuire à ceux qui travaillent mal, et aussi tout ce qui se travaille, car Mon œil est éveillé pour la protection de Mon œuvre et de Ma marche. C’est le jour de fête de Sainte Parascheva, elle est dans Ma gloire avec sa compagnie de saints venus au festin en sa mémoire, et elle dit cela:
— Oh, quelle grande parole, qu’elle est grande, Seigneur, Dieu de nos parents et de leur fils, de génération en génération, des uns aux autres jusqu’aujourd’hui!
Oh, je m’incline devant la table de parole tellement riche en amour, en Ton amour pour eux, Seigneur, car il est difficile pour l’homme de T’aimer, qu’il est difficile, difficile à cause de son manque de renoncement à soi, oh, mon Seigneur, tant humilié face à l’homme, face à face avec l’homme. Oh, gloire à Toi, et je Te remercie, et je Te donne mon jour, pour le mettre avec Ton travail face à face avec ceux enseignés par Dieu sur la terre maintenant! Gloire à Toi, gloire à Toi, gloire à Toi! Amen.
— Oh, j’ai vêtu en parole Ma douleur pour pouvoir la montrer et la porter avec ceux qui portent avec Moi le soin pour la marche de Ma venue d’aujourd’hui, puisque Je ne peux partager avec tous les secrets et les douleurs venus de leur conduite. J’attends donc, être reçu et consolé ensuite de ceux qui Me blessent profondément. Oh, et J’aimerais laver leur faute et les prier d’apprendre d’être enfants, d’être innocents, car voilà quelle mauvaise idée de se croire grands et forts. Oh, quel malheur! Hélas! Quel malheur, car de tant de bien travaillé, il en sorte tant de mal! Et vous, les fils qui Me soutenez pour venir, Je vous prie, ayez patience jusqu’à la fin, supportez avec Moi, supportez comme Moi, pour arriver au jour de la consolation, et ce sera le jour de la victoire, les fils!
Et paix à vous! Paix sur les douleurs qui existent, et que vous portez sans protester, oh, les fils! Amen, amen, amen.